Collier Sautoir en Perles d'Imitation
Sautoir en chute de perles d'imitation en dégradée de vert avec fermoir boule en métal argenté et strass
Signé : Atmosphère
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C'est vers 1600, sous le règne d'Henri IV qu'un « patenôtrier », fabricant d'objet de piété, de Passy, nommé Jaquin, eut la révélation. Sans doute influencé par la lecture de recettes antiques, de l' « essence d'orient », il fabriqua les premières imitations de perles. Remarquant que l'éclat des écailles d'ablettes, un poisson d'eau douce, évoquait l'orient des perles, il en réalisa un concentré pâteux qu'il baptisa « essence d'orient ».
La perle d'imitation était alors constituée d'une sphère de verre creuse, la véritable innovation de Jaquin, obtenue par soufflage d'un tube fin, de sorte que l'épaisseur de verre soit faible. L'essence d'orient était introduite par l'un des orifices, et répartie sur toute la surface interne de la sphère qui était ensuite emplie de cire blanche.
Cette production se perpétua, notamment à Langeac (Cantal) jusque vers 1920, et c'est à son propos que nos ancêtres disaient qu'une perle fausse casse facilement, et glisse sous la dent, à la différence d'une perle fine.